J'écris ce texte en français à tous ceux qui sont en train de sentir la douleur de perdre quelqu'un, qui verseient les larmes avec le 13 novembre 2015, le mauvais vendredi. Je n'habite pas à Paris, je ne suis pas française mais encore humaine. C'est clair que cette tragédie c'est une réponse directe aux politiciens. On sait qu'il y a la nomenclature: “terroristes”, mais quand on parle sur les réfugiés et les frontières, nous savons que la France a des sevères politiques. C'est-à-dire, ce sont des politiques contraires de la sensibilité, perception de voir et partager la douleur et la solidarité de tous ceux qui ont besoin. Les frontières doivent être ouvertes aux syriens. Mais pas seulement pour les syriens, il faut faire connaissance d'être humaine. On ne peut pas acheter une guèrre contre quelque ethnique, religion, etc si on est le pays qui hausse le drapeau de: “Liberté, égalite, fraternité”. Regarde l'histoire. La belle histoire de conquête. C'est vrai, c'était une histoire de sang, d'agitation mais surtout d'impacte. La politique se fait de dialogue. Les réfugiés ont rien à voir avec l'attentat, les refugiés sont des personnes qui veulent paix, tranquillité, ils veulent vivre sans la douleur de voir leur proches en mourant. Ça c'est pareil, est-ce pas ? Les larmes du Bataclan ce sont les mêmes larmes des syriens, des mulsumains, etc.
Bien, voilà, je crois que dans ce moment on verra des personnes qui feront des jugés. Ces “terroristes” sont en guèrre, en guèrre comme l'histoire. Il y aura de xénophobie, plus de xénophobie et c'est pour cela qu'on voit des nouvelles de violence et préjugé tout le temps. Si on veut paix, il faut que nous connaissons sa vraiment signification.
Paris c'est le pays d'amour..... à quoi ça sert ? Jusqu'à quel point ? Pas des jugés, si nous voulons voir par les yeux de la verité.